Un nouveau départ.

Je voyais sa tête ensanglantée, à ce salle Lorenzo Maquis, et moi, l'arme contre sa tempe.
Je décide en premièrement de tirer une balle dans sa jambe, puis une autre dans le bras.
Et il souffrait...
-Vas y Tommi, achève moi...

Je réfléchis, puis je range mon arme. Il mourra de souffrance d'ici Cinq à dix minutes.
Et je m'en vais par la porte, en pensant à Claudia.
Et je suis partis. J'avait laissé une arme en haut de son bureau, je savais qu'il souffrirait pour la prendre.
Mais alors que j'était quasiment sortit de son palais, j'entend une détonation.
Pris par la vitesse, je regarde les garde du corps (qui étaient priés de rester devant m'entrée).
Je commence à sentir ma sueur, ils me regardent avec un air de.....enfin, ils ont compris.
Et moi, je suis en pleins milieux de Rome, avec au moins une cinquantenne de flics et de garde du corps prêt à faire feux sur moi.
-OK, bon bha, regardez, je ... pose ... mon ...

Et avant que je puisse terminer ma phrase, je vois une petite sortie qui mène à un garage sur la droite, alors je visualise les cinque garde du corps qui sont en joue sur moi, et je sort mon arme chargé.
5 tirs, 4 ont fait mouches, l'autre à l'épaule. Je pique mon sprint jusqu'au petit escalier, et là, je me fait tirer dans la jambe.
Ah, bon dieux que sa fait mal ! Mais bon, il ne faut rien lacher, je défile les escaliers en marbre en me laissant tomber jusque devant la voiture.
Je choisis une Lamborghini, le dernier modèle, la "Magnifico" je met directement la première, et je part à tout allure, laissant derrière moi, au moins 60 flics avec leurs voitures spéciale course poursuite, une Ferrari je crois...
Ya plus qu'à espérer que Staline a reçus mon message, et qu'il vienne avec l'hélico, car sinon, je ne vais pas faire long feu...

Staline reçut le message de Tommi. Il courut chercher une équipe de rebelle et un pilote et ils montèrent le plus vite possible dans un Falcon. Le feu vert était donné pour partir. Staline repensa a son ancien coéquipier Zéro, brave soldat, mort en Héro. Il ne voulait que Tommi meurt également, Staline aimait tout particulièrement Tommi tout autant que Zéro. C'étaient deux soldats très brave et courageux, ils n'avaient peur de rien. Staline suivait Tommi grâce à la géolocalisation de son portable. Tommi savait exactement ou aller. Cela faisait maintenant plus de dix minutes qu'il était poursuivit et il arriva a la Z.A. C'était en plein milieu de la route. Staline et les rebelles étaient armé d'arme lourde (Bazooka et Laser). La voiture de Tommi arriva, il devait sauter du véhicule. Il sauta et Staline alla le cherché, il le posa immédiatement dans le Falcon pendant que les rebelles tiraient sur les voitures des policiers. Staline leur demanda de monter dans le Falcon, il devait partir. Le Falcon prit alors de l'altitude quand un policier pris un lance-grenade qui était par terre. Il réussit a touché le Falcon et le Falcon s'écrasa.

Staline perdit connaissance...

J'était tombé sur une voiture, ce qui amortit le choc, pas comme mon chef.
Le falcon était tout simplement détruit, il brulait, et l'essence à côté de staline risquait d'exploser à cause du feu qui se propageait très vite.
Par terre, j'avait vu un sniper, je le prend et je commence à tirer sur les policiers qui sont aux alentours, il y avait deux rebelles avec moi, et Staline était à au moins 10 mètres de notre position.
Nous nous faisions pilonner par des snipers et des mitrailleuses. Atteindre Staline serait impossible.
Impossible si mon allié à mes côté ne s'était pas fait tué d'une balle dans la tête. Et là, une colère rouge montait en moi, je rechargea mon sniper, je me leva, et je tirai sur touts ce qui bougeait, je commence à faire un vrais massacre, quand tout à coup, d'autres flics viennent derrière nous.
Je regarde mon autre ami rebelle. L'autre qui s'était fait tuer, c'était le frère de mon ami à mes côtés. Il me regarda, le visage en sang. Il arrache la mitrailleuse encore opérationnelle du falcon, la sortie, et il me dit "Je les retiendrais assez longtemps. Va chercher le chef."
Je fait ce qu'il dit, je lâche mon sniper sans charge pour récupérer deux mitraillettes, et je continu de tirer sur l'ennemi.
A cause de l'adrénaline, je n'ai pas peur et je continu de courir devant moi.
Prêt de Staline, je lâche une de mes mitraillettes pour prendre un Micro.
"A tous les rebelles, Code rouge sur l'autoroute principale, je répète, code rouge ! "
Je lâche aussitôt le micro pour prendre d'une main staline. De l'autre, je fini mon chargeur.
Je lâche la mitraillette, et je prend mon magnum. J'essaie de nous couvrir, mais une autre balle m'atteint, à l'épaule cette fois.
La douleur est atroce, mais je ne veux pas lâcher mon Chef, alors je prend sur moi et je réfugie Staline dans le restes du Falcon.
Je regarde vers mon ami rebe...Merde, il est mort. Il a rejoint son frère. "Riposa in pace", je récupère la mitrailleuse, je l'approche de nous, et je tire à l'aveugle.

Sa y est, je n'est plus de munitions.
Je crois que je vais y rester. J'aurais fait ce que je peux...
Alors que je me résous à mon sort, d'un seul coup, je n'entend plus de tirs policier.
Je regarde le ciel, et là, je vois mon dernier espoir, au moins dix falcon lourd et un pélican.
par sécurité, je vais voir dans le cockpit. Le pilote n'as pas l'air mort, un miracle.
Je le prend et je le met prêt de Staline qui est toujours évanoui. Il a pris un sale coup à la tête.

Puis les tirs reprennent.
Les falcons alliés tire à la mitrailleuses sur les militaires qui se font littéralement détruire.
Quand au Pélican, il a rejoint notre position.
Je monte dedans à toute allure, et là,

Je m'effondre de fatigue...

Staline était là allongé dans un lit dans l'hôpital secret des Rebelles. Il ne pansait jamais ce retrouver un jour dans ses lit.
Staline avait vu dans le couloir Tommi l'homme qui l'avait sauvé. Il décida donc de le nommer commandant en second.
La mission déménagement peut enfin commencer!