Entrainement à l'épée avec Dhal

Aujourd'hui, Dhal 'Rapamee, mon meilleur ami, m'a donné rendez-vous à l'arène du centre d'entraînement de la ville.Je suis à deux rues du centres, Dhal doit déjà m'attendre, il n'est pas du genre à arriver en retard.

Un peu plus tard, devant l'entré, Dhal m'attendait.

"-Salut Dhal, je ne t'ai pas trop fait attendre ?

-Non, t'es juste en retard de 30 minutes ...

-Desolé, j'avais pas vu l'heure.

-Pas grave, bon, on entre ?"

Je suivis mon ami dans l'arène. Il y avait du monde, heureusement, le centre est grand et dispose de beaucoup de pièces différentes. Dans la salle n°14, des enfants combattaient. Nous y entrons, car leur combat était sur le point de se finir.

Les deux petits Sanghellis avaient des épées à énergie, mais ils avaient des armures différentes. Le plus petit avait une armure bleu, tandis que l'autre, un peu plus grand, avait une armure rouge. Le petit fonça sur l'autre avec son épée, et au dernier moment la leva au niveau du casque de l'élite rouge. Ce dernier l'esquiva de peu et lui donna un coup de pied dans le bras, ce qui fit lâcher l'arme du petit Sanghelli à l'armure bleu. Le combat était finit, désarmé, il ne pouvait qu'abandonner.

-C'est à nous de jouer, dis Dhal.

-Bonne chance !

J'entra le premier, suivit de mon ami.
Je pris place du coté droit, en face de lui. Il activa son épée à énergie, ce qui faisait briller son armure violette et le rendait beaucoup plus visible comme ça. Je fis de même. Il commença à courir vers moi, à grande vitesse. Il était très rapide, bien plus que moi. Il était déjà à 5 mètres de moi. Je leva mon épée au niveau de la sienne, et elles s'entrechoquèrent, en faisant plusieurs éclats lumineux, qui descendaient vers le sol.
Cela nous fit reculer, mais sans perdre de temps, je courra vers lui pour lui planter mon épée dans son armure. Il leva son épée au dernier moment, juste devant mon visage. Je fis un bon sur le coté, pour esquiver son coup.
Il me fonça dessus, et alors que je me préparais à contrer un coup d'épée, il me donna un grand coup de pied dans le torse qui me fit partir à environ de 5 mètres plus loin. Il s'approcha de moi avant même que j'eut le temps de me relever. Il brandit son épée au niveau de mon visage, et me dit :
-Abandonne, tu as perdu !

Je leva ma jambe à la hauteur de la sienne et je lui donna un coup de pied derrière le genou, ce qui le fit tomber. Avant même qu'il finisse sa chute, j'avais déjà commencer à me relever. Premier debout, je m'approcha de lui et lui dis ces mots :
-C'est toi, qui a perdu !

Tout en gardant mon épée à hauteur de son visage. Au bout de plusieurs secondes d'hésitations, il me répondit :
-Pfff ... J'abandonne.

Je désactiva mon épée à énergie, ce qu'il fit aussi rapidement que moi. Il se releva avant même que je puisse ranger mon arme.

- Bien joué, me dit-il.

- Tu t'es bien défendu aussi, je pensais que j'allais perdre.

Et il sortit de la salle derrière moi, en me suivant jusqu'à la sortie du bâtiment.

-Je rentre chez moi, je prendrai ma revanche une prochaine fois, me dit il.

-A plus tard !

Je partis en direction de mon appartement. Je voyais les grands bâtiments militaires s'élever jusqu'au ciel, les vaisseaux décoller, j'en voyais atterrir, aussi. Je marchais dans la rue principale, bordée de hangar stockant des armes, et même des véhicules.
Mon appartement se situe prêt d'un centre de recherche, dont les inventions restent secrètes. Il est possible que tout les jours j'utilise leurs inventions, s'en même savoir qu'elles ont étés inventées près de chez moi. Je tournais à droite, puis à gauche, et me voilà arriver dans ma rue.

Je voyais le bâtiment où j'habitais briller au soleil. J'étais en face de la porte, prêt à entrer. La porte s'ouvrit toute seule, sans même avoir besoin de toucher quelque chose. Je pris l'ascenseur gravitationnel jusqu'au 28e étage. J'habitais dans un des plus hauts étages du bâtiment, il en faisait 32 exactement.

J'entrai chez moi, ayant déjà finis de taper le code de la porte. J'activa le socle hologrammique, pour voir les nouvelles.J'avais effectivement un message du Grand Conseil. Je le lis, et je prépara mes affaires. Je devais partir en mission.