Mission Zéro INFILTRATION

Zéro était dans les rues de la Mombaza infiltré il a réussi a faire du chantage avec la plupart des gardes, certain on refusé mais Zéro c'est trouvé convaincant... Un garde avait précisé, qu'il avait un conduit de ventilation hors ligne accédant au Bureau de Derek Simpson. Zéro marcha longtemps et vit enfin le siège de la SRN. Des gardes était placé dans tout les endroits possible. L'homme était au milieu d'une foule
d’admiratrices pour un certain " Derek Simpson " Il prononça sa citation.


Il s'infiltra par l’arrière du bâtiment, Staline m'avait donné le plan du siège, malgré le garde qui passer devant toute les 5 minutes. Zéro difficilement réussi a le contourné par le toit. Il arriva dans une pièce étrange, qui semblais être un laboratoire. Zéro vit une femme puis Derek il sursauta ! et sauta derrière la porte. Les respirations de Zéro fessait beaucoup de bruits Derek cru qu'il y avait quelqu'un cardiaque et rabatta la porte sur Zéro qui était caché derrière la porte. Derek ne vit personne et dit :

-Derek : Je n'aime pas ce bruit... Je vais poster des gardes dorénavant, j’espère que ces " Rebelle " n'essaye pas de s'infiltré... Sinon je leur réserverais un sort plus au moins sympathique. Bon... Je préfère rester dans mon bureau pour regarder les récents rapports.

Zéro derrière eus le temps une fois que Derek était partie de s'en aller par la fenêtre. De douleur il se fracasse sur un buisson. Zéro déterminé a se vengé, de se maudit directeur se mis en camouflage qui dure minimum dix minutes... C'est dix minutes serviront a Zéro de se faire infiltré le mieux qu'il peut, mais il faut que sa mission réussisse sinon il rentrera tète basse a sa base. Même si il doit mourir.

Et Zéro fessa le point dans son esprit...

Zéro eus peu de temps pour activé son camouflage, les gardes l’observait attentivement... Trop... Il arriva enfin dans le fameux conduit de ventilation qui était au sous-sol, qui était le jardin. Zéro pensait beaucoup a sa famille... A sa tristesse, a sa soeur... Et surtout a Staline. Il lui avait promit la vengeance, mais sa sa soif s'exténué... Au fil du temps sa tristesse prenait place dans son esprit. Le tuyau était très long. De nombreux obstacles se dressait devant lui. Lasers de protection, piège et autre choses.

Il vit enfin le bureau de Derek il était avide de réponses ! Il s'en foutais de désobéir au ordres. La mort de sa soeur lui pesait dessus. Il explosa d'un coup de pieds la petite vitre du conduit de ventilation, Dès qu'il y pénétra dans la pièce le camouflage s'enleva et il tomba face a face, a un garde. Zéro n'avais pas d'autre choix que de l'éliminer... Il lui trancha la jambe en deux en l'handicapent. Même si le soldat n'était pas mort, il hurlais et prévenu tout le monde dans, le bâtiment. Derek et tout ses gardes était devant lui. Il était seul, face a sa
destinée.

L'homme jeta son arme a terre et il hurla :

< Vous croyez m’arrêter ? Eh ben oui je me rend... Mais avant, je rend ma mission !<

Il jeta dehors les fichiers top secrets concernants Staline et jeta le fichier concernant Derek Simpson qui se trouvais sur le bureau. Staline était en bas lui aussi c'était infiltrée et réussi a les prendre en secret. Il savait que Zéro ne reviendrais pas. Derek ordonna a ses gardes de l'emprisonné et il se laissa faire... Staline su réussi a temps et fuir surtout. Zéro avait rempli sa mission enfin ce qu'il voulais...

Faire sa mission...

Derek allait tranquillement rejoindre son bureau quand des hurlements retentirent. Il accourut à la source d'émission accompagné de nombreux gardes et le plus étonnants c'est que ce son émettait de son bureau. Il ordonna à un garde de défoncer la porte et ils entrèrent tous en trombe dans le bureau. Là se tenait un homme avec un étrange coutelas laser, à ces pieds gisaient un garde estropié qui hurlait comme un damné.
L'intrus jeta sa lame à terre et hurla :

< Vous croyez m’arrêter ? Eh ben oui je me rend... Mais avant, je rend ma mission ! >

A peine eut-il finit sa phrase qu'il attrapa certains dossiers sur le bureau de Derek et les envoya voltiger par la fenêtre. Un de ses complices devait surement être en bas pour effectué la réception.
Derek pesta et ordonna que l'on amène cet intrus dans les sous-sols. Il passerait s'occuper de lui en tant voulu. Il demanda aussi que l'on amena d'urgence le garde estropié à l'hôpital le plus proche.
Une fois tout ce remue-ménage disparu, Derek entreprit de voir quels dossiers manquaient.
Le constat fut bref : Le dossier sur Staline et un autre sur lui même.
Derek maugréât quelques insultes et appela sa secrétaire via l'interphone.

<-Amandine, apporter moi un duplicata du dossier de Staline Sevchenko dans mon bureau.

-Bien monsieur il sera là d'ici peu.

-Parfait déposé le sur mon bureau, je me rend au sous-sols>

Il sortit de son bureau et pris l'ascenseur express direction les sous-sols qui faisaient office de cellules d'isolements. Une fois sur place, il demanda que l'on amène le prisonnier dans la chambre de torture 05, pendant ce temps Derek partit chercher des instruments.

Une fois le prisonnier installé sur une chaise dans la pièce, Derek entra et sans un mot plaça des objets de tortures sur une table, il recommença plusieurs fois sans décroché un seul mot, une fois son dernier voyage effectué, il y avait sur la table des objets variés : Une tronçonneuse, un marteau et des clous, un sac plastique, un seau d'eau, des tenailles, un fer à repasser, des postes à souder, un étau, des cure dents, une bouteilles de vinaigre et pleins d'autres choses variées. Puis il sortit.
Une fois dehors, il se dirigea dans la salle d'observation derrière la vitre fumée et demanda à ce que l'on amène Douglas Jefferson avec lui.
Une fois son collègue arrivait, il lui proposa de s'asseoir a coté de lui. Ce dernier ne sachant pourquoi il était là lui posa la question suivante :

<-Derek, tu sais que si je veux voir des mecs ficelés et qui attendent sur une chaise à coté d'objets coupants, je peux très bien aller dans le club des sadomasos du coin.

-Patiente mon ami, il faut semer le trouble chez lui avant de commencer l'attaque physique, nous allons mener la guerre psychologique, face à tous ses instruments la peur s'installera en lui.

-Ok Derek, mais pourquoi m'as tu appelé ?

-Tu voulais des leçons n'est ce pas ? Maintenant tu vas les avoir, il te suffit juste d'attendre ce n'est pas trop difficile pour toi ?>

Une heure écoulé, Derek se leva et partit pour se rendre dans la pièce. Il entra, pris une autre chaise et se plaça devant son captif. Il entama la procédure :

<-Bon, on peut parler gentiment entre homme civilisé ou faire sa avec tous mes petits joués que tu vois là. Personnellement je préfère que tu résiste, j'aimerais bien m'amusé un peu !

-Fait ton boulot et n'en parlons plus sale bourreau !

-Bien tant mieux. Je présume que tu es un rebelle, sinon tu n'aurais pas pris le dossier sur Staline Sevchenko. J'ai une question, pourquoi les minables dans ton genre rejoignent cette cause inutile ?

-L'UNSC n'est qu'un monstre ! A cause d'enfoiré comme vous ma soeur est morte ! Vous n'avez aucune considération pour la vie des gens !

-C'est la guerre les gens meurent.

-Vous ne vous souciez de rien d'autre que de votre confort vous autres les gradés !

-Ah bon, c'est ce que tu crois ? Si ta soeur faisait partie de l'UNSC c'est qu'elle avait compris elle ! Elle avait compris que pour nous sauver il ne faut pas que nous nous divisions et elle a acceptée de mourir pour cette cause. Que penserais t-elle de toi en te voyant oeuvré contre ce qu'elle à chérit toute sa vie ?

-Vous ne comprenez rien !

-Peut être, maintenant tu va me dire ce que je veux savoir ! Je veux les plans des rebelles, vos bases secrètes tous ce que tu peux savoir !

-Va te faire foutre !

-Bien comme tu voudras, Derek se dirigea vers la table et attrapa le marteau et les clous, tu sais, j'aime beaucoup bricoler malheureusement je n'en ai pas le temps avec mon travail. Mais là je vois l'occasion de me parfaire dans ce domaine. Je t'explique, chaque fois que tu refuseras de me répondre, je te planterais un clou, c'est clair ? Bon tu as refusé une fois, je vais dont t'en planté un.>

Derek posa un clou sur le genou du rebelle et cogna fort dessus avec son marteau, le rebelle hurla. Il reposa sa question et obtint un nouveau non. Il replanta un clou, le rebelle hurla de plus belle.

20 minutes plus tard,le captif avait environ 40 clous par jambes. Refusant toujours de parler Derek décida de changer de technique. Il retira tous les clous, rangea son marteau et brancha le fer à repasser.

<-Tu as 5 minutes avant qu'il ne chauffe complètement, après je repasse tes plaies sanguinolentes et crois moi la douleur sera pire. Tu as quelque chose à me dire ?

-Rien, émit le rebelle d'un son plaintif et douloureux, rien du tout !>

Derek empoigna le fer à repasser et le pressa longuement contre chaque jambe du rebelle. Il hurla tellement fort que si la pièce n'était pas insonorisée, tout l'immeuble l'aurait entendu.

<-Tu n'as toujours rien à me dire salopard !>

Le captif fit non de la tête. Derek furieux attrapa la bouteille de vinaigre et versa tout son contenue sur les plaies sanglantes du rebelle qui hurla une fois encore.
Il posa ensuite le fer chaud sur sa jambe gauche et sans le débrancher sortit de la pièce pour aller voir Douglas.

<-Il ne dit rien aujourd'hui mais après quelques semaines en isolement il deviendras tellement fou qu'il n'auras plus d'autres choix que de tout déballer sinon on l'exécutera ! On va le placer dans le centre pénitencier le plus proche, ce serait trop dangereux de le garder ici. Je veux que tu envoie un fourgon blindée remplir cette tache dans l'heure qui suit !>

Derek partit sans attendre la réponse de Douglas, il avait d'autres choses à faire concernant des rapports rebelles. Et il devait apprendre tout ce qu'il pouvait sur ce Staline Sevchenko.

Staline était en-bas du bâtiment avec les dossiers sous le bras. Il attendait le retour de son camarade, Zéro, pendant maintenant deux heures. Pour éviter que Staline soit reconnu, il avait vêtu comme toute les personnes qui travaillaient au siège du SRN. Staline fit plusieurs aller retour devant le bâtiment du SRN et prit plusieurs café en attendant son ami. Puis au bout de trois heures d'attente il vit un convoi, il y avait un fourgon blindée escorté par deux autres véhicules de police. Staline compris de suite que c'était son agent dans le fourgon. Il décida alors de courir jusqu’à son véhicule. Il alluma le contact aussi vite qu'il était rentré dans le véhicule puis le se plaça derrière le convoi. Staline savait à quelle centre pénitencier Zéro allait être envoyé et il fallait passer par une petite, la route 69. Il prit alors son téléphone et appela le QG des Rebelles. Il tomba sur le commandant en second et dit:

< Allô! Envoyez moi une équipe de suite au donné que je vais vous envoyer.

-De suite commandant! >>

Staline se préparait déjà pour l'attaque. Il avait tout prévu, il savait qu'ils devaient faire vite, tout est une question de temps. Il commença à charger son magnum. Avant de commencer, il avait essayé de faire un petit bilan sur nombre de policier présent dans le convoi. Il y avait trois policiers présent dans chacun des véhicules qui escortaient le fourgon et deux dans le fourgon.

Trente minutes passèrent et les voila qui étaient sur la route 69. Le convoi continuait de rouler tranquillement quand d'un coup il fut arrêté nette. Un warthog rebelle bloqua la route. Ils étaient deux, un rebelle à la tourelle et l'autre qui était en joule derrière son véhicule. L'artilleur se mit à tirer en rafale sur le véhicule d'escorte de devant, les trois policiers du véhicule moururent. Quand à Staline, il descendit de son véhicule et tua deux des trois policiers du véhicule d'escorte arrière. Le dernier descendit du véhicule et fonça vers Staline. Il le mit par terre. Staline se releva et mit un coup de poing dans la tête du policier puis un deuxième, un troisième... jusqu’à ce que le policier tomba à terre. Il ne restait plus que les deux policiers du fourgons. L'un deux sorti du véhicule et à penne sorti qu'il se fit descendre par le rebelle qui était caché derrière le warthog. Le dernier policier sortit avec le prisonnier, l'arme sur la tempe de Zéro. Le policier commença à dire:

< Merde! Vous les avez tous tué! Surtout ne bougez pas ou je tue votre copain. Posez vos armes. >>

Staline posa son magnum sur le sol et le rebelle qui était sur la tourelle du warthog descendit et posa aussi son DMR. Le policier était en état de stress, il tremblait, il avait peur. Puis d'un coup le policier tomba à terre, le rebelle qui était caché derrière le warthog avait réussi a ce faufiler derrière le fourgon pour prendre par derrière le policier. Staline courra alors vers Zéro qui était aussi par terre, il constata l'état des jambes de son camarade. Zéro ne tenait plus debout. Staline aida Zéro à se déplacer et alla voir les rebelles et dit:

< Comment on va faire pour partir tous ensemble? Il y a que trois places...

- Voila votre taxi, dit un des rebelles, on se retrouve à la base. >>

Un Falcon apparu et se posa sur la route. Staline et Zéro montèrent à bord. Le commandant rebelle, Staline, commença à parler énervement:

< La prochaine, évite de faire ce que tu viens de faire parce qu'on ne viendra pas t'aider.>>

Mais Zéro lui était content d'être libérer et se moqua de se que venait de dire Staline.

Le falcon se dirigé ville a ville, puis a notre vaisseau personnelle, la douleur me fendait en deux. Derek était plus coriace que sa... Mes jambes ne répondais plus, ni mes bras, je vit Staline qui soupirait

< Ne fais plus jamais, cet connerie immense ! Tu un agent talentueux ! Pas un mouton ! >

< Oui, mais j'en ait marre? de cette foutu guerre je suis a moitié mort, tu comprend ? Le doux sourire de ma soeur que je ne reverrais plus me hante. Tu sais ? J'ai ait marre patron,je suis fatigué... Fatigué de la bêtise du monde et des conflits... Je n'ai pas d'amis qui me dit ou aller ou vivre... Je n'en peut plus... Désoler patron. >

Sur ces mots Zéro s'éteint, ou plutôt mort pour lui. Staline le regarda en ayant des remords ? Des regrets ? Non lui aussi, pensa au mots de Zéro a sa vie, et toute les souffrances qu'il avait enduré pour mourir bêtement. Staline avait toute confiance en Zéro mais ne pensait pas que cet agent avec tant de talent finisse par mourir.

Aujourd'hui, un héro rebelle s'éteint avec toute sa dignité. On tenta de le ranimer avec un défibrillateur, mais non... Il ne voulais plus vivre.

<Sta...line... Je serait avec toi, dans to...n es...prit et je t'aid...erais mais ven...ge moi... >

< Zéro, je te vengerais mon amis, je te le promet... >

Ainsi fini la mission de Zéro cet homme était trop déséspére pour continué, Staline lui promit des funérailles digne et la vengeance. Staline veut la mort de ce " Derek Simpson ".